Découvrez la magnétothérapie pulsée

Connaissez-vous la magnétothérapie pulsée ? Il s’agit d’une solution alternative pour le traitement de la douleur, basée sur l’utilisation des champs magnétiques pulsés. Explications.

Origine

Si l’on commence à en entendre de plus en plus parler, la magnétothérapie n’est pas une nouveauté. Elle est apparue au début du siècle dernier, à la suite des découvertes de l’ingénieur et biophysicien Georges Lakovsky. Encore peu répandue en France, cette médecine non conventionnelle est bien plus utilisée dans d’autres pays européens comme l’Allemagne, mais aussi au Japon, en Russie ou encore aux USA. Elle est toutefois proposée en France dans certains établissements hospitaliers, notamment à Soissons, Grenoble ou encore Perpignan.

Comment ça marche ?

Pour soulager la douleur, les praticiens magnétothérapeutes utilisent des champs magnétiques de faible intensité et de fréquences variables, générés par des aimants. Les champs magnétiques pulsés vont alors faire « vibrer » les cellules malades, afin de les « réveiller » et de leur redonner leur fréquence naturelle.

Pour en savoir plus :

Dans quel cas est-elle utilisée ?

La magnétothérapie pulsée est utilisée pour le traitement de la douleur, et principalement pour les douleurs articulaires et musculaires. Elle est ainsi recommandée dans le cadre d’affections chroniques dues à l’âge, telles que l’arthrose, les rhumatismes, la hernie discale, l’ostéoporose, fibromyalgie, polyarthrite, etc. Elle est aussi utilisée par les sportifs de haut niveau.
Outre son action de soulagement de la douleur, la magnétothérapie peut aussi être utilisée en traitement préventif ou en phase de réparation.

Quelles contre-indications ?

Les champs magnétiques pulsés ne produisent pas d’effets secondaires, et l’OMS reconnait qu’aucun effet nuisible n’existe pour le corps humain. En théorie, donc, tout le monde peut y avoir recours. Toutefois, en raison de l’utilisation des aimants et champs magnétiques, la pratique est interdite aux porteurs de Pacemaker ainsi qu’aux femmes enceintes, par mesure de précaution.